"Le Dragon du Trocadéro" Claude Izner
Un suspens haletant mené tambour battant par Victor Legris et son beau-frère Joseph, dans le Paris de 1900 pendant l'Exposition Universelle. L'enquête sera semée d'embûches. Les festivités et la présence de nombreux visiteurs étrangers ne faciliteront pas leur recherche. Qui est donc cet assassin qui sème le trouble en signant ses actes d'une flèche attachée à une plume. Il sera question de bâteau, de cargaison de capitaine...
Une nouvelle enquête pleine de rebondissements, mêlant avec talent, fiction et réalité hisrtorique.
On ne s'ennuie pas en compagnie des fins limiers de la Librairie Elzévir, rue des Saint-Pères !
Ce roman est la dernière série des aventures de Victor Legris.
Claude Izner : pseudonyme de deux soeurs, Liliane Korb et Laurence Lefèvre. Elles ont crée un nouveau héros évoluant cette fois, dans le Paris des Années Folles ! A découvrir très vite.
"En 1900, l'Exposition universelle ramène à Paris une faune bigarrée de curieux, de marins, d'artistes et de scientifiques. Ichirô Watanabe et son cousin Isamu visitent les oeuvres réunies sur le Trocadéro quand quelqu'un dans la foule glisse un papier dans la main de ce dernier. A peine l'a-t-il lu qu'il est abattu d'une flèche en plein coeur, à laquelle est rattachée une plume. Inquiets pour la sécurité de leur ami, Victor et Joesph vont se lancer dans une nouvelle enquête qui les mènera jusqu'à un bâteau fantôme et une mystérieuse cargaison..."
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Peintre du jour
Jean Béraud (1849-1936)
"Les Pont des Arts par grand-vent" (détail) Métropolitan Museum of Art. New-York ( Illustration de la couverture du roman) Ce peintre a été souvent choisi par Claude Izner pour la couverture de leur roman sur les enquêtes de Victor Legris
Jean Béraud, appartient à cette génération de peintres restés fidèles à la tradition d'objectivité et de minutie des siècles précédents, des spécialistes du paysage urbain, tout en sachant tirer profit des innovations apportées par les peintres impressionnistes dont il garde la légèreté de la touche. Il est en quelque sorte, l'iconographe des moeurs de la IIIème République. Il saisit l'évènement parisien et le fixe sur la toile avec un souci de vérité.
Sociétaire des Artistes français, il y obtient en 1889, la médaille d'or. (Ref/Encyclopédie des Impessionnistes, des précurseurs aux héritiers)
"Entrée de l'Exposition Universelle de 1889" Huile sur toile (Paris, Muset Carnavalet)